Une tentative de contraste avec les «débats palpitants» mis en scène lors des récents plateaux TV dédiés à la primaire à droite ?
En multipliant les attaques à l'encontre de François Fillon, il semblerait qu'Alain Juppé soit passé à la vitesse supérieure...
Parmi les points de désaccord entre lui et son rival du moment : les relations franco-russes.
Pour avoir déclaré, à propos de la Syrie : «Il faut se féliciter que la Russie soit intervenue. Sinon, nous aurions sans doute en face de nous un Etat islamique encore plus puissant», l'ex-Premier ministre de Nicolas Sarkozy a été immédiatement qualifié de russophile - voire de «Poutinophile» - dans la plupart des médias français.
Le maire de Bordeaux est quant à lui épargné et pour cause : à l'instar d'une certaine candidate à qui cela n'a pas porté chance récemment, le Bordelais a opté pour une hostilité ouverte vis-à-vis du président russe.
«J'ai trois vérités à dire à Monsieur Poutine», la suite en vidéo!