Relevant dans un communiqué que ces installations présentaient un risque important d'incendie et que les activités exercées l'étaient «dans des conditions sanitaires dangereuses», le Conseil d’Etat a jugé que l'expulsion présentait «un caractère d'urgence et d'utilité».
Le Conseil d'Etat annule ainsi l'ordonnance du tribunal administratif de Lille, défavorable à la fermeture des commerces.
Selon les derniers décomptes, qui varient selon les sources, 7 000 à 10 000 personnes habitent toujours cette zone et un migrant sur dix est mineur.