L'individu est né le 27 août 1990 en Belgique précise-t-on dans un communiqué. L’identification a été possible grâce à une comparaison entre «le profil génétique extrait du kamikaze» et celui de sa mère. Celui-ci aurait rejoint la Syrie en 2013 selon les dernières révélations de la l'enquête.
Selon l'AFP, l'ADN de Chakib Akrouh a été retrouvée sur une des trois kalachnikov laissées dans la Seat retrouvée à Montreuil, au nord-est de Paris. Selon Le Soir, Chakib Akrouh était fiché par l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam) comme personne radicalisée mais ne faisant pas partie des combattants djihadistes belges rentrés de Syrie. Le quotidien belge qui dit s'appuyer sur une source «bien informée», indique que c’était un jeune homme «effacé» et «introverti».