« Pour information, la Maison Blanche et nos agences antiterroristes ont confirmé avoir reçu ce que j'ai révélé publiquement : Emmanuel Macron aurait tenté d'organiser mon assassinat, selon une source proche du couple présidentiel », a déclaré le 25 novembre sur X Candace Owens dans un message annonçant que son émission « ne sera pas diffusée cette semaine ».
« Pour tous ceux qui doutaient de mes affirmations, vous pouvez maintenant vous tourner vers le président des États-Unis et nos services de renseignement pour qu’ils publient une déclaration confirmant si je dis la vérité », a ajouté et conclu la podcasteuse américaine, qui depuis plusieurs jours affirme que « les Macron » auraient « commandité et financé » son assassinat.
« Le chef de l'État français souhaite apparemment notre mort à tous les deux et a mandaté des unités spécialisées pour y parvenir », écrivait-elle dans un message posté sur X le 22 novembre et vu plus de 43 millions de fois, après avoir avancé que « la vie du journaliste Xavier Poussard est également en danger ».
Candace Owens, en conflit avec le couple Macron depuis qu’elle s’est mise en quête de révéler que Brigitte Macron serait « en réalité un homme », affirmait alors avoir été contactée par un « haut fonctionnaire du gouvernement français » l’avertissant que consigne aurait été donnée à une « petite équipe » du GIGN de la neutraliser. Un « commando » dont ferait partie « un Israélien », a-t-elle jugé bon de préciser. Sa source lui aurait également déclaré « que l'assassin de Charlie Kirk s'est entraîné avec la 13e brigade de la Légion française ».
Des accusations, graves, qui ne sont pas passées inaperçues en France, où elles ont été tournées en dérision par la presse. « On était obligés de rire parce que c’était énorme quand même ! C’est ridicule. Le problème, c’est que des gens peuvent y croire », a notamment déclaré auprès du quotidien 20 Minutes une source proche du groupe d’intervention d’élite de la Gendarmerie.