La préfecture du Pas-de-Calais a indiqué à l'agence de presse française AFP que malgré les quelques 2 500 mètres carré de tentes et de cabanons réduits en cendre, aucune victime n'était à déplorer dans l'incendie qui a frappé le camp de réfugiés de Calais. Elle a ajouté que le feu avait été maîtrisé durant la nuit du 13 au 14 novembre.
Alors que certaines allégations prétendaient que l'incendie avait été déclenché volontairement en représailles suite aux attaques terroristes qui ont frappé Paris, le maire adjoint a réfuté cette hypothèse auprès de RT, déclarant : «Ce sont deux choses différentes, et le feu là-bas n’a rien à voir avec les attaques de Paris».
Quelques 4 500 réfugiés vivent dans ce camp, rebaptisé la «jungle de Calais», dans des conditions précaires.