La déléguée syndicale CGT, Sylvie Pringuez, revient pour RT France sur le bras de fer qui oppose actuellement les syndicats et la direction chez Pimkie. Selon elle, la direction ne peut avancer des motifs économiques pour supprimer les 208 emplois en France.
Estimant que l’entreprise se retrouve désormais «fragilisée» face aux salariés, elle a annoncé que les syndicats entendaient poursuivre leurs revendications. Pour obtenir satisfaction, ces derniers tenteront le 9 mars prochain de convaincre le comité d’entreprise, chiffres à l’appui, de la bonne santé financière de l’enseigne vestimentaire appartenant au groupe Mulliez.