Pays qui a connu 60 gouvernements différents depuis la création de la République en 1946, l'Italie se rend aux urnes ce 4 mars. En quête de stabilité politique, le paysage politique italien se distingue pourtant par sa fragmentation.
Massimiliano Picciani, secrétaire général du think tank EuroCité, a analysé pour RT France les enjeux de l'élection, les forces en présence, les possibilités d'alliances et les perspectives politiques pour le pays.
N'excluant pas que les Italiens doivent «voter à nouveau dans six mois», il estime peu probable qu'un candidat puisse parvenir à créer une majorité. «On abandonne le bipolarisme, on a un paysage très fragmenté», analyse-t-il.
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