La justice britannique a maintenu le 13 février le mandat d'arrêt contre Julian Assange, estimant qu'il n'allait «pas à l'encontre de l'intérêt public», comme le soutenait la défense du fondateur de WikiLeaks dans une nouvelle question soumise à la justice. «C'est un déni de justice, puisque la plainte originelle qui a initié ce mandat d'arrêt en Grande-Bretagne a été levé il y a quelques mois en Suède», explique Djordje Kuzmanovic, porte-parole défense et international de la France insoumise (LFI).