PROTOCOLE ?

Devant un centre hospitalier de Rouen où Emmanuel Macron effectuait une visite, entre 150 et 200 personnes ont manifesté pour défendre le service public et dénoncer leurs conditions de travail.
Le système d’alerte et d’information des populations, SAIP, application envoyant des notifications aux portables en cas d'attentat, s'est déclenché le 12 décembre. Attaque terroriste ? Non, simple bug qui a appeuré puis fait rire les internautes.
Plus de 300 jeunes enfants, pris de vomissements dans une cinquantaine d'établissements scolaires de Rouen après avoir mangé de la nourriture provenant d'un même fournisseur, ont été soignés sur place ou à l'hôpital, a annoncé la préfecture.
Alors que les manifestations contre les violences policières ont parfois viré à l’émeute ces derniers jours, la police a pris ses précautions pour encadrer de très près deux nouvelles mobilisations en soutien à la victime présumée à Rouen et Nantes.
Si la nuit précédente avait été plus calme, une vingtaine d'interpellations a eu lieu à Rouen, où des dégradations impressionnantes ont eu lieu, alors que les forces de l'ordre auraient été prises pour cible du côté d'Argenteuil.
Près de trois cents de manifestants se sont réunis devant l’hôtel de ville à Rouen pour manifester leur soutien à Théo, victime d'un viol présumé par des policiers la semaine dernière. Le rassemblement a dégénéré en heurts avec la police.
Un incendie dans un bar à Rouen a provoqué la mort de treize personnes selon le bilan officiel réalisé par les pompiers. L'origine du sinistre est due à la chute d'un gâteau d'anniversaire garni de bougies, lors d'une fête privée.
Une semaine après l'attaque des terroristes dans l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray qui a coûté la vie au prêtre Jacques Hamel le 26 juillet, la cérémonie funèbre en son honneur a déplacé les foules.
Près de 2 000 personnes, dont au moins une centaine de musulmans, se pressaient dimanche dans une cathédrale de Rouen pleine à craquer pour rendre un vibrant hommage au père Hamel, assassiné en pleine messe par un commando djihadiste.
Dans un discours prononcé après l'attentat de Rouen, François Hollande «se voulait martial» ; un discours qui fait «plus penser à Paul Reynaud (nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts) qu’à de Gaulle», estime l'économiste Jacques Sapir.
L'attentat de Rouen «devrait être un véritable enseignement pour nos hommes politiques», estime le général Didier Tauzin, candidat à l'élection présidentielle 2017. «Mais je suis persuadé qu'ils n’en tireront aucun», ajoute-t-il.
«Deux hommes se réclamant de Daesh». C'est ainsi que François Hollande a décrit les deux hommes ayant commis le massacre dans la petite église près de Rouen. Fiché S, l'un d'eux faisait déjà l'objet d'une surveillance accrue.
Les forains qui ont bloqué mardi et mercredi la ville de Rouen afin de protester contre la décision de la municipalité d'éloigner leurs manèges du centre-ville lors de la Foire Saint-Romain, semblent avoir trouvé un accord avec la municipalité.