Le président argentin Alberto Fernandez, qui a été vacciné contre le Covid-19 avec le Spoutnik V en février dernier, a annoncé qu'il était positif au virus, selon un test antigénique.
Des fans et des proches de la légende du football se sont rassemblés à Buenos Aires pour réclamer une enquête approfondie sur sa mort. Ils accusent notamment des médecins de négligences. Une commission d'enquête se penche sur la question.
Le 27 février 2021, des milliers de personnes se sont rassemblées sur la place de Mai à Buenos Aires, ainsi que dans plusieurs autres villes argentines, pour manifester en réaction au scandale des «vaccinations VIP».
Poursuivi pour homicide involontaire et accusé de négligence, Leopoldo Luque, l'un des médecins de Diego Maradona, apparaît désormais dans un enregistrement dans lequel il évoque dans des termes crus l'état de santé du footballeur.
Dans ce continent − le plus froid et le plus sec de la planète − les enjeux géopolitiques réchauffent les esprits car différents pays se disputent de vastes territoires qui, pour l’instant, n’appartiennent à personne.
Le président argentin Alberto Fernandez s'est fait administrer ce 21 janvier une première dose de Spoutnik V, le vaccin russe contre le Covid-19 développé par le laboratoire Gamaleya. j
En partance de Moscou, quelque 300 000 nouvelles doses du vaccin russe contre le Covid-19 sont arrivées à l'aéroport de Buenos Aires, capitale de l'Argentine. «La santé nous unit», a déclaré le ministre argentin de la Santé.
Après les députés, les sénateurs argentins ont adopté la loi sur la légalisation de l'avortement. Le président Alberto Fernandez s'est réjoui de la nouvelle, malgré l'opposition de la communauté catholique.
Le chef d'Etat argentin Alberto Fernandez s'est exprimé au sujet du vaccin russe contre le Covid-19, Spoutnik V, pour lequel l'Argentine a donné son feu vert. Le pays devrait recevoir quelque 10 millions de doses.
Le 28 décembre, des manifestants sont descendus dans les rues de Buenos Aires pour une marche anti-avortement. Déjà approuvée par les députés, la loi légalisant l’avortement en Argentine est débattue ce 29 décembre au Sénat.
L'Argentine devient le premier pays d'Amérique latine à autoriser le vaccin développé par le centre de recherches russe Gamaleïa. Un avion chargé de 300 000 doses de Spoutnik V s'est envolé de Moscou à destination de Buenos Aires le 23 décembre.
Le sud de l'Argentine et du Chili ont été plongés dans le noir pendant deux minutes pendant une éclipse solaire totale qui a fait le bonheur des amateurs d'astronomie.
Après l'annonce d'un accord avec la Russie portant sur l'acquisition du vaccin russe Spoutnik V contre le Covid-19, le président argentin Alberto Fernandez a fait savoir qu'il serait le premier citoyen du pays à se le faire administrer.
Dans La Grande Interview, Grégory Petitjean reçoit Pascal Boniface, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), sur le thème «Diego Maradona, une figure politique derrière le génie sportif».
Après l'élection du candidat de gauche Luis Arce au poste de président en Bolivie, Evo Morales a déclaré qu'il rentrerait «tôt ou tard» dans son pays. «Mon grand souhait est de retourner en Bolivie, dans ma région», a-t-il ajouté.
Le député argentin Juan Emilio Ameri a été suspendu pour avoir embrassé le sein de sa conjointe, qui se trouvait à ses côtés, lors d'une session parlementaire en visioconférence. Le député a expliqué qu'il ne pensait pas être connecté à ce moment.
Le président argentin a estimé, lors d’un entretien à la radio, que son pays n’était «pas en état» d’accepter des conditions du Fonds monétaire international (FMI), avec lequel il négocie un nouveau programme de financement de sa dette.
Le gouvernement argentin a annoncé la conclusion d'un accord sur une partie de sa dette à hauteur de 66 milliards de dollars avec les créanciers étrangers du pays.
Alors que la pandémie de coronavirus poursuit sa progression, le monde du sport prend des mesures pour répondre à l'urgence sanitaire. De nombreuses compétitions ont été décalées ou suspendues. La question de maintenir ou pas les JO se pose.
L'ex-président bolivien Evo Morales, exilé en Argentine, ne remplirait plus l'obligation de «résidence permanente» dans le pays. Il ne pourra pas se présenter à l'élection générale du 3 mai. Son parti, le MAS, est toutefois en tête dans les sondages.