En Italie, l'annonce d'un couvre-feu à 18 heures et de la fermetures des bars, restaurants, théâtres, pour lutter contre le Covid-19, a déclenché des manifestations dans plusieurs villes parmi lesquelles Rome, Naples, Milan et Turin.
Le président de la région de Sicile a publié un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d'accueil de migrants, qu'il juge propices à la diffusion du Covid-19. Une décision invalide juridiquement, mais saluée par Matteo Salvini.
Ancien journaliste, Gianluigi Paragone a récemment été exclu du M5S, dont il critiquait l'alliance avec le Parti démocrate. Le sénateur a lancé son parti avec un objectif limpide : faire sortir l'Italie de l'Union européenne.
Dans un communiqué commun, Paris, Rome et Berlin exhortent les parties libyennes à arrêter tout combat «immédiatement et sans condition». Les trois pays appellent également à mettre fin à toute ingérence étrangère en Libye.
Deux nouveaux foyers de coronavirus sont apparus ces derniers jours à Rome : l'un dans un hôpital, l'autre dans un immeuble squatté qui a été mis en quarantaine. De quoi susciter l’inquiétude des autorités sanitaires.
Le pape François a comparé les soignants qui ont succombé au coronavirus à des soldats morts au front, estimant qu'ils avaient donné leur vie «par amour».
«La simple insinuation m'offense» : le Premier ministre italien a sèchement répondu à la BBC, selon qui la Russie aurait pu conditionner son aide médicale à l'Italie. Il a par ailleurs estimé que la pandémie était une menace existentielle à l'UE.
Pour montrer leur unité, des dizaines d'Italiens ont joué de la musique et chanté depuis leur fenêtre alors que le pays est en quarantaine depuis le 9 mars. Le coronavirus a fait 1 441 victimes dans toute l'Italie selon le ministère de la Santé.
Des soulèvements dans au moins dix pénitenciers italiens ont fait plusieurs morts, après la suspension des visites familiales pour les détenus. Cette mesure vise à enrayer la propagation du coronavirus qui a déjà fait plus de 300 morts en Italie.
Alors qu'il saluait les pèlerins présents sur la place Saint-Pierre dans la soirée de la Saint-Sylvestre, le pape François a réagi avec irritation à la vigoureuse poignée de main d'une fidèle. Il s'est par la suite excusé de sa réaction.
Dans ses vœux au gouvernement de l'Eglise, le pape François a dépeint une situation bien pessimiste pour la chrétienté. Regrettant que la foi soit aujourd'hui «niée, marginalisée et ridiculisée» en Occident, il a appelé l'Eglise à changer.
Une campagne de sensibilisation antiraciste de la Ligue italienne de football a été jugée déplacée à cause de l'utilisation d'une peinture représentant trois singes, dans un pays où des cris de singe sont régulièrement adressés à des joueurs noirs.
Alors qu'il caracole en tête des sondages, Matteo Salvini a réuni avec les partis alliés Forza Italia et Frères d'Italie des dizaines de milliers de sympathisants lors d'un meeting contre le gouvernement de coalition de gauche.
Une piñata représentant Matteo Salvini – l'ancien ministre italien de l'Intérieur – a été frappée le 16 septembre par des romains participant à un festival de musique dans la capitale. La maire de la ville a condamné une action «inacceptable».
Afin de passer outre la demande de Matteo Salvini d'organiser des élections anticipées, le président du Conseil des ministres a formé un nouveau gouvernement à rebours du résultat des dernières législatives, mais à la satisfaction de Bruxelles.
Alors que le navire d'une ONG allemande, avec 65 migrants à son bord au large de la Libye, n'obtient pas de réponse quant à leur prise en charge, Malte a accepté de recueillir une cinquantaine d'exilés secourus la veille par le voilier Mediterranea.
A l'occasion de leur rencontre, Vladimir Poutine et le président du Conseil Giuseppe Conte se sont mis d'accord concernant leur volonté de mettre un terme aux sanctions de l'UE contre la Russie. Car selon eux, les deux pays y ont beaucoup perdu.
Avant de débuter sa visite officielle en Italie, où il s'entretiendra avec le chef du gouvernement Giuseppe Conte, Vladimir Poutine a rencontré le pape François au Vatican. C'est la troisième visite du président russe au souverain pontife.
Situé sur une île touristique au large de la Sicile, le volcan Stromboli – l'un des plus actifs d'Europe – est entré en éruption ce 3 juillet. Des dizaines de personnes ont été évacuées par la marine italienne et au moins un touriste a péri.
Vladimir Poutine est en visite à Rome le 4 juillet. Alors que le gouvernement italien tente de s'affranchir du dirigisme de l'Union européenne, et regarde ailleurs, l'Italie et la Russie partagent de nombreux enjeux géopolitiques et commerciaux.