SIDERANT

D'après un baromètre Odoxa, seulement 30% des français ont un avis favorable à propos d'Emmanuel Macron. Sa cote de popularité augmente uniquement chez les partisans des Républicains, avec une hausse de 12 points en un mois.
Un nouveau sondage vient confirmer le revers essuyé dans l’opinion par le président de la République, à l’heure où la grogne s’accentue contre la réforme des retraites et la hausse généralisée des prix.
Selon un sondage Odoxa, les cotes de popularité d'Emmanuel Macron et d'Elisabeth Borne ont chuté, sur fond de mécontentement vis-à-vis de la réforme des retraites. 64% des personnes interrogées jugent le gouvernement responsable des futurs blocages.
A en croire une étude de l'institut CSA, 39% des Français considéreraient les migrants comme «une menace», alors qu'ils seraient 13% à y voir «une opportunité» pour leur pays. Selon les 48% restants, ils ne seraient «ni l'un, ni l'autre».
D'après une étude réalisée pour Cnews par l'institut CSA, plus de deux tiers des Français jugent l'Hexagone «en déclin». Ce sentiment est encore plus marqué chez les électeurs du Rassemblement national et des Républicains.
Selon un sondage de l'institut Elabe, 65% des Français jugent qu'il y a trop d'«assistanat» et que notre modèle sociale «n'encourage pas à faire des efforts». Cette opinion est partagé par les électeurs de Marine Le Pen et d'Emmanuel Macron
Selon un récent sondage, 72% des Français seraient «favorables» aux sanctions antirusses mais ils seraient encore plus nombreux (74%) à les juger «inefficaces». A en croire cette étude, l'opposition à ces mesures gagnerait du terrain en France.
Le Secours populaire français a dévoilé le 7 septembre son baromètre de la pauvreté. Près d'un Français sur deux affirme avoir un compte en banque vide. Et le sentiment d'être pauvre augmente.
Dans une enquête réalisée par Harris Interactive pour le magazine Challenges, les Français interrogés jugent sévèrement l'état de la démocratie dans l'Hexagone. Une majorité de sondés estimant même qu'elle s'est dégradée ces dernières années.
Dans toutes les catégories de population, le jugement positif du bilan de Macron est devenu minoritaire, selon un récent sondage. Avec en point noir son bilan en matière de sécurité, jugé négativement par 75% des Français.
Le Premier ministre a fait savoir qu'il remettrait sa démission, ainsi que celle de l'ensemble du gouvernement, dans la foulée d'une éventuelle réélection du président sortant, conformément aux usages de la Vème République.
Selon l'institut indépendant Levada, près de 83% des Russes approuvent l'action de leur président, soit une progression de 12 points depuis l'enquête précédente, réalisée avant le début de l'offensive en Ukraine.
Des internautes, dont des politiques, ont affirmé qu'un sondage en ligne proposé par RTL a été supprimé par la radio. Il était indiqué que 84% des personnes interrogées ne voulaient pas la réélection d'Emmanuel Macron.
Alors que, selon un récent sondage publié par le JDD, les Français sont majoritairement favorables à la mise en place d'un pass vaccinal, le plébiscite de cette mesure au sein de la population est en baisse, explique la même étude.
Les récents propos d'Emmanuel Macron sur les non-vaccinés sont évoqués dans la présentation des derniers sondages sur la popularité du chef de l'Etat ainsi que sur les intentions de vote des Français à 4 mois de l'élection présidentielle.
Un sondage du Washington Post réalisé au cours du mois de décembre dernier montre qu'un Américain sur trois estime que l'action violente peut se justifier. Le plus haut taux en deux décennies de mesures.
Un sondage assure que «43 % des Français estiment que les demandeurs d'emploi sont responsables de leur situation». L'éditorialiste Fred Hermel a constaté que beaucoup de jeunes étaient «inemployables». Les réseaux sociaux dénoncent ce propos.
Selon une étude de l'Ifop publiée le 9 décembre, 65% des lycéens français musulmans déclarent partager l'affirmation suivante : «Les normes et règles édictées par votre religion sont plus importantes que les lois de la République.»
Selon une étude de l'Ifop publiée le 9 décembre, 65% des lycéens français musulmans déclarent partager l'affirmation suivante : «Les normes et règles édictées par votre religion sont plus importantes que les lois de la République.»
Plusieurs élus de gauche et de droite ont souligné les limites des conclusions tirées d'un sondage qui place Valérie Pécresse à 20% d'intentions de vote au premier tour de la présidentielle 2022. Plusieurs sondeurs pointent aussi un «effet primaire».