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L'arrivée à Roissy-Charles de Gaulle de l'économiste et ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis le 13 juillet dernier a été quelque peu mouvementée. Le ton est rapidement monté entre lui et les agents de la police aux frontières.
Le parti conservateur Nouvelle-Démocratie, dirigé par Kyriakos Mitsotakis, est arrivé largement en tête des législatives en Grèce, devançant la gauche du Premier ministre sortant Alexis Tsipras, selon un sondage publié à la fermeture des urnes.
Un temps vu comme le sauveur de la Grèce – voire au-delà –, Syriza, le parti d'Alexis Tsipras, s'apprête à recevoir une claque électorale lors des législatives du 7 juillet. La volte-face du Premier ministre face à la Troïka n'y est pas étrangère.
En 2005, prenant à contre-pied les élites et les médias, les Français refusaient le traité de Constitution européenne. Depuis, les peuples qui ont voté à l'encontre des préconisations européennes ont vu leurs espoirs quelque peu douchés.
Depuis Athènes où il se rendait le 27 octobre pour célébrer la naissance d'un nouveau parti politique grec, Jean-Luc Mélenchon a interpellé l'UE et la France qu'il a sommées de rendre à la Grèce l'argent qui, selon lui, lui reviendrait de droit.
A la suite d'une demande des Verts allemands, opposés à la politique intransigeante d'Angela Merkel à l'égard de la Grèce, le ministère des Finances allemand a dû rendre public les gains effectués en prêtant de l'argent à Athènes.
Si les créanciers de la Grèce ne sont pas parvenus à s'entendre sur un allègement de sa dette et le déblocage de nouveaux prêts, le FMI a loué les réformes menées par Alexis Tsipras. Athènes s'est dit convaincu qu'un compromis serait trouvé en juin.
De violents affrontements ont éclaté entre migrants et policiers après la mort d'une femme et d'un enfant dans un incendie qui a ravagé le camp de réfugiés de Moria. Des incidents agitent régulièrement les camps de migrants précaires et surpeuplés.
Le mouvement altermondialiste était d'emblée condamné à une impasse, constate Pierre Lévy, spécialiste des questions européennes .
Le Parlement grec a approuvé, la nuit dernière, un budget présenté par le gouvernement d'Alexis Tsipras. Loin des promesses de Syriza, il est qualifié de «rude» par Euclide Tskalotos, le ministre des Finances d'Alexis Tsipras.
Le gouvernement d’Alexis Tsipras voit s’accroître la pression alors qu’un appel à la grève générale a été lancé dans le pays fatigué par l’austérité avec laquelle le Premier ministre avait promis de rompre.
Alexis Tsipras n'a pas mâché ses mots pour dénoncer l'incapacité européenne dans la crise migratoire qui touche son pays de plein fouet.
Alors que l’UE connaît une percée de mouvements dont le programme anti-austérité est plus ou moins radical, comme Syriza en Grèce ou Podemos en Espagne, une union de la gauche inédite pourrait suivre la même voie au Portugal.
Le président français a commencé une visite officielle de deux jours en Grèce. L’occasion de renforcer les liens… et de ramasser quelques contrats.
Le président français François Hollande, accompagné de ministres et de chefs d’entreprises, arrive en Grèce le 22 octobre pour une visite de deux jours. Le député du parti Syriza, Stelios Kouloglou, partage avec RT France sa vision de la situation.
Depuis l'arrivée de Jeremy Corbin à la tête du Labour, les nouveaux partisans sont très nombreux. Car Jeremy Corbyn jouit d'une popularité importante grâce à ses combats passés et un style nouveau, explique le journaliste Nathanaël Uhl.
Syriza, le parti de la gauche radicale d’Alexis Tsipras devrait obtenir 145 sièges sur 300 que compte le Parlement grec. Il devrait former dès ce lundi un gouvernement chargé de mettre en oeuvre le plan d'aide au pays décidé cet été.
La gauche française s'est réjouie, ce week-end, de l'élection de Jeremy Corbyn à la tête du Labour. En France pourtant, l'élan de gauche qui traverse l'Europe avec Corbyn, Syriza ou Podemos, semble difficile à prendre.
Le parti communiste pourrait obtenir son meilleur score depuis 1987 aux élections législatives. En cause : la contestation anti-austérité qui croit dans le pays, alors que la coalition de centre-droite est au pouvoir depuis quatre ans.
Professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’Université Paris VIII, Jacques Nikonoff analyse le Syriza espagnol – le parti Podemos.