BRAS DE FER

Alors que les voisins de Tokyo crient au scandale face à un éventuel désastre environnemental, ses amis occidentaux maintiennent que le rejet des eaux de Fukushima dans l’Océan n’est pas d’une menace.
Interrogé sur la réforme du Conseil de sécurité, auquel l’Allemagne et le Japon sont prétendants, Sergueï Lavrov a estimé qu’il n’y avait aucun intérêt à confier des sièges permanents aux pays dont la politique est assujettie à celle des Etats-Unis.
Le Japon a commencé ce 24 août à rejeter en mer de l'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, malgré la vive opposition de Pékin, qui a immédiatement renforcé ses restrictions commerciales vis-à-vis de Tokyo.
La Chine a adressé des protestations «solennelles» concernant la déclaration publiée par Washington, Séoul et Tokyo, dans laquelle ils s'opposent au «comportement dangereux et agressif» de Pékin dans la région Asie-Pacifique.
Vladimir Poutine a signé ce 8 août un décret portant sur les conventions de double imposition conclues avec les pays dits «inamicaux», qui permettaient d'éviter aux personnes rattachées à l'étranger d'être doublement assujetties à l'impôt.
Alors que la tension monte entre Pékin et Washington, Emmanuel Macron s’opposerait à l’ouverture d’un bureau de liaison de l’OTAN au Japon, estimant que l’Alliance de l’Atlantique Nord devrait se concentrer sur sa zone géographique historique.
Des violences ont éclaté le 21 mai entre la police anti-émeute et des manifestants en marge du sommet du G7, alors qu'une centaine de manifestants défilaient dans une galerie marchande.
Des centaines de manifestants pacifistes ont défilé à Hiroshima pour protester contre la tenue dans cette ville du G7, dénonçant l'impérialisme, la guerre en Ukraine et le risque de guerre nucléaire.
Au cours d'une visite sur le chantier de la cathédrale en compagnie du Premier ministre japonais, le président de la République a assuré que les délais prévus pour terminer les travaux seraient respectés, «en faisant bien et en faisant beau».
La diplomatie russe s'est en particulier offusquée de l'opposition de l'Allemagne, du Japon et de l'Italie à une résolution adoptée par l'ONU qui enjoint de lutter contre l'apologie du nazisme ou du néonazisme.
Après de nouvelles salves de missiles de Pyongyang, dont l'un est tombé à proximité de la frontière, Séoul a répliqué en effectuant à son tour des tirs. La Corée du Sud a évoqué une invasion de fait et a promis une réponse «sévère».
Une «réaction légitime» face à des «menaces militaires directes des Etats-Unis» : la Corée du Nord a défendu ce 8 octobre sa récente série de tests de missiles que Washington, Séoul et Tokyo ont qualifié de «grave menace pour la paix et la sécurité».
Le 6 octobre, la Corée du Nord a lancé deux nouveaux missiles balistiques vers la mer du Japon. Pyongyang justifie ses essais comme une «juste mesure de rétorsion» face aux exercices miliaires conjoints entre Seoul et Washington dans la région.
Lors du sommet Japon-Afrique, le Premier ministre nippon Fumio Kishida a assuré qu'au moment où son pays siègera au Conseil de sécurité (2023-2024), il plaidera pour une réforme de l'ONU et l'obtention d'un siège permanent pour le continent africain.
Le chef de la police nationale japonaise et un responsable de la police de Nara ont annoncé leur démission, reconnaissant leurs responsabilités dans la protection de l'ancien Premier ministre Shinzo Abe, assassiné le 8 juillet lors d'un meeting.
L'ancien dirigeant a été touché par un tir lors d'un rassemblement électoral et est décédé. L'actuel Premier ministre Fumio Kishida a condamné un «acte barbare», tandis que les réactions internationales se sont multipliées.
L'ancien patron de l'alliance Renault Nissan, qui vit au Liban depuis sa fuite du Japon, est visé par un mandat d'arrêt international délivré par le parquet de Nanterre, dans le cadre d'une enquête pour abus de biens sociaux et blanchiment.
Bien qu'ayant adopté les sanctions occidentales contre Moscou, le Japon ne compte pas se retirer d'un grand projet gazier avec la Russie. Son Premier ministre, devant le Parlement, a défendu un approvisionnement «à long terme, peu coûteux et stable».
L'agence de presse nord-coréenne KCNA a confirmé que le projectile tiré le 24 mars était un missile balistique intercontinental. Kim Jong-un a assuré que son pays était prêt à mener un combat de longue haleine contre les «impérialistes américains».
Le projectile tiré le 24 mars par la Corée du Nord, suspecté d'être un missile balistique intercontinental, est tombé dans la zone économique exclusive maritime du Japon, a annoncé le ministère de la Défense nippon.