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RIPOSTE

Dans un contexte de multiplication des attaques le visant, RT France regrette une pression accrue sur l'Arcom afin de lui nuire. Et rappelle avoir toujours respecté les obligations liées à sa convention avec le régulateur des médias.
A mesure qu'approche la présidentielle, les attaques contre RT France se multiplient dans la presse, mais aussi en provenance d'obscures entités dans le but affiché de faire taire la chaîne.
Le président des Républicains Christian Jacob a saisi le 11 janvier la commission des comptes de campagne et l'Arcom (ex-CSA) pour les alerter sur les dépenses liées aux déplacements du quasi-candidat à la présidentielle Emmanuel Macron.
Le président de l'autorité de régulation a rappelé le 3 janvier sur France Info qu'il fallait distinguer les «propos régaliens» du chef de l'Etat de ceux tenus «quand il descend dans l'arène politique», seuls les seconds étant décomptés.
L’annonce de l’entretien télévisé du Président de la République alors que la campagne pour l’élection présidentielle est lancée n’est pas sans susciter la polémique. Valérie Pecresse s’est notamment déclarée prête à saisir le CSA.
Dans le cadre de la campagne pour le référendum sur l'indépendance le 12 décembre, des clips en forme de dessins animés diffusés par le parti loyaliste Les Voix du Non ont été qualifiés de «calomnieux, infantilisants et dégradants» par des opposants.
Alors qu'Eric Zemmour s'étonnait que la parole des éditorialistes mainstream ne soit pas comptabilisée, contrairement à son temps d'antenne, la ministre Roselyne Bachelot a tenté de justifier la mesure prise par le gendarme de l'audiovisuel.
L'ancien directeur d'études d'opinions Stéphane Rozès a exposé pour RT France son analyse de la récente décision du CSA concernant le décompte des interventions télévisées de l'éditorialiste Eric Zemmour «portant sur le débat politique national».
Eric Zemmour, dont le temps de parole dans les médias audiovisuels est désormais décompté, a accusé le 9 septembre le gouvernement d'avoir exercé une pression sur le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), à l'origine de cette décision.
Dans une déclaration rendue publique ce 8 septembre, le CSA, l'autorité française de régulation de l'audiovisuel, a demandé aux médias que le polémiste pouvait être considéré «comme un acteur du débat politique national».
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a constaté que la part des personnes dites «non-blanches» apparues sur le petit écran en 2020 était de 16% – en hausse d'un point – dans des rôles plus souvent positifs (36% des cas) que négatifs (22%).
Le trésorier du RN, Wallerand de Saint-Just, a écrit le 2 juin au président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) pour lui demander de comptabiliser le temps d'antenne d'Emmanuel Macron, qui entamait une tournée de déplacements le même jour.
Selon Capital, la plateforme d'hébergement de vidéos menace de supprimer la chaîne de Sud Radio, en raison de propos tenus sur son antenne par des invités qui remettent en question la pertinence de vaccins contre le Covid ou la dangerosité du virus.
CSA constate «d’une manière générale» que les réseaux sociaux et plateformes en ligne «se sont saisis de l’enjeu de la lutte contre la diffusion de fausses informations», tout en jugeant que «ces mesures doivent encore être approfondies».
Dans un contexte particulièrement marqué par la dénonciation du racisme et des violences policières en France, le ministre chargé de la Ville et du Logement a indiqué que le gouvernement entendait lutter contre les discriminations du quotidien.
La chaîne d'info LCI a été mise en garde par le CSA pour avoir caricaturé le défenseur de Piotr Pavlensky dans l'affaire Griveaux, Yassine Bouzrou, en février, le présentant notamment comme un ancien cancre issu d'un milieu défavorisé.
Qui aura les faveurs des plateformes érigées en censeurs de la liberté d'expression par la loi Avia et les Marcheurs : Zemmour et son sens permanent de l'esprit critique ou Tariq Ramadan et ses disciples communautaristes ?
Les sénateurs LR, emmenés par Bruno Retailleau, ont annoncé, le 18 mai, le dépôt de leur recours au Conseil constitutionnel contre la proposition de loi contre la haine en ligne, au nom de la défense de la «liberté d'expression».
Le débat entre un chercheur de l'Inserm et un médecin sur LCI, évoquant la possibilité de tester un vaccin contre le coronavirus en Afrique, a créé la polémique, notamment sur Twitter.
David Koubbi, avocat de RT France, a expliqué ce 26 février que la chaîne n'avait pas été sanctionnée après la diffusion en mars 2019 d'un sujet dans lequel elle donnait la parole à un général russe au sujet du conflit syrien.
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