Selon Radio France, l'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal profite allègrement de l'enveloppe allouée à sa fonction d'ambassadrice des pôles. L'intéressée dénonce des «insinuations calomnieuses».
Le service public a annoncé qu'il ne diffuserait aucun message publicitaire des opposants à la privatisation de Aéroports de Paris. En revanche, des spots appelant à investir dans la privatisation de la Française des Jeux sont à l'antenne.
Dans une interview, l'animatrice n'a pas mâché ses mots concernant certains médias français. Qualifiant les uns de «putassier», les autres de «soraliens», elle s'est attirée la colère de Thierry Ardisson et du patron de Sud Radio Didier Maïsto.
Les salariés de Radio France sont entrés en grève massive, refusant d'assurer une partie des programmes, après l'annonce du plan d'économies de 60 millions par leur présidente Sibyle Veil. Certains journalistes ont confié leur révolte à RT France.
Pour leur 24e acte à Paris, les Gilets jaunes avaient prévu une «marche sur les médias». Dénonçant la partialité de ces derniers à leur sujet, ils se sont rendus devant les sièges de plusieurs rédactions parisiennes afin d'exprimer leur colère.
Une enquête de la cellule investigation de Radio France révèle comment Alexandre Benalla a réussi à obtenir un accès à l'Assemblée nationale grâce à Benoît Hamon. De plus, le protégé d'Emmanuel Macron aurait truqué son CV et produit un faux document.
En interviewant Xenia Fedorova, présidente de RT France, un journaliste de France Inter a laissé entendre que les menaces de mort dont l'équipe de la chaîne est victime pourraient être le résultat de sa couverture du mouvement Gilets jaunes.
L'ancienne candidate socialiste à l'élection présidentielle estime-t-elle qu'Emmanuel Macron fait preuve de trop de virilité dans le conflit qui l'oppose aux Gilets jaunes ? Sur France inter, elle a jugé qu'il s'agissait d'«un truc de mec».
Depuis plusieurs jours, des responsables insoumis ciblent plusieurs médias dont France info, fustigeant la propagation de «fausses informations» quant aux affaires secouant leur parti. Radio France réagit et porte plainte contre Jean-Luc Mélenchon.
Le morceau de rap ultraviolent de Nick Conrad a relancé la polémique sur la pertinence de la notion de racisme anti-Blancs. La radio publique s'est penchée sur la question pour relayer l'idée que cette notion n'a «aucun sens en sciences sociales».
Michel Onfray plaide l'humour après le tollé qu'a provoqué son dernier pamphlet anti-Macron publié sur son blog. Ses détracteurs dénoncent un texte à la teneur homophobe mais le philosophe soutient que la satire n'a pas de frontières.
Le philosophe Michel Onfray dénonce une décision politique dans le choix fait par France Culture de ne plus diffuser les cours qu'il donne à l'Université populaire de Caen, qu'il a lui même créée. Il estime que la liberté d'expression est en danger.
Une pétition satirique lancée par des animateurs radio, exigeant la libération du ministre contesté Nicolas Hulot et «sa réintroduction immédiate dans son milieu naturel», rencontre un grand succès, particulièrement chez les écologistes.
Dans son émission «Accents d'Europe» et avec des vidéos sur son site internet, RFI, en collaboration avec l'Union européenne, propose de «décrypter» les idées reçues à l'encontre de Bruxelles. Quitte parfois à les confirmer ?
Alors que RT France couvrait la présidentielle russe le 18 mars, d'autres médias suivaient semble-t-il la chaîne – et peut-être pas que pour s'informer.
Le CSA a annoncé le 31 janvier via un communiqué avoir révoqué le président de Radio France Mathieu Gallet. Ce dernier avait été condamné le 15 janvier dernier par la justice pour «favoritisme».
Le 29 janvier, l'eurodéputée Nadine Morano a qualifié sur Twitter France Inter de «radio de gauche avec des "pas humoristes" militants», en répondant à une tribune de l'avocat Gilles-William Goldnadel.
Sur fond de projet de réforme de l'audiovisuel public, la ministre de la Culture Françoise Nyssen a appelé Mathieu Gallet à «tirer les conséquences» de sa condamnation pour favoritisme. Mais le patron de Radio France a exclu de démissionner.
Plusieurs cadres du Front national ont vivement réagi à l'information selon laquelle la Société Générale a sommé le parti de fermer ses comptes. Une mésaventure de plus pour le FN qui entretient des relations exécrables avec les banques.
Ex-président de l'INA, Mathieu Gallet est soupçonné de favoritisme dans l'attribution de marchés publics. Il s'est défendu en assurant que les règles lui étaient «totalement inconnues» et que ses équipes ne l'avaient pas prévenu des procédures.