Alors que Jawad Bendaoud a été relaxé par la justice française après avoir hébergé deux djihadistes des attentats de Paris qui ont fait près de 130 morts, une personne se présentant comme ce dernier se vante d'avoir «850 000 abonnés» sur Snapchat.
Un élément versé au dossier de Jawad Bendaoud dont le procès s'ouvre le 24 janvier pourrait doubler la peine encourue par «le logeur» des terroristes du 13 novembre. Son ADN a été retrouvé sur un adhésif ayant servi à fabriquer des explosifs.
Une centaine de mal logés, dont les sinistrés de l’assaut antiterroriste de Saint-Denis, occupent un gymnase près de l’Elysée pour envoyer un message clair à Emmanuel Macron : ils veulent un toit. La mairie de Paris n'a pas demandé d'évacuation.
En février, les enquêteurs belges ont découvert une conversation entre le chef présumé des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud, et un de ses kamikazes, Brahim Abdeslam, sur un téléphone portable de ce dernier saisi neuf mois avant les attaques.
Suspecté d’avoir hébergé les terroristes de Paris et placé en isolement depuis un an, Jawad Bendaoud a craqué lors de son procès pour trafic de stupéfiants à Bobigny, où il a multiplié les cris et les insultes contre les policiers qui l'escortaient.
Il réclame son transfert dans une autre prison et tente de convaincre dans une lettre écrite de sa cellule. «Jamais j’aurais pu imaginer que je venais de serrer la main et offert un toit du coca cherry, de l’oasis» à des terroristes, affirme-t-il.
Incarcéré à Villepinte, Jawad Bendaoud, qui est accusé d'avoir fourni une planque au djihadiste Abdelhamid Abaaoud, a tenté d’incendier sa cellule après une fouille qui l’a contrarié. Ce qui a réveillé l'imagination d'internautes plutôt taquins.
Selon un ancien combattant de Daesh repenti et rentré en Occident, un certain Tarik Jadaoun, originaire de Verviers en Belgique et combattant actuellement en Irak avec l'EI, projetterait des attentats et serait le nouveau Abdelhamid Abaaoud.
La police allemande a arrêté un Algérien de 20 ans, soupçonné d'avoir fait partie de l’Etat islamique en Syrie et transmis des informations à Abdelhamid Abaaoud, l’homme qui a planifié les attaques du 13 novembre de Paris, selon le parquet fédéral.
Lors d'un échange téléphonique, le 18 février dernier, avec sa sœur Yasmina résidant en Belgique, le jeune Younes Abaaoud aurait annoncé son retour sur le territoire de l'Union européenne.
De l'audition du 19 mars par la police fédérale belge du terroriste du Bataclan, à laquelle BFM TV a eu accès, il ressort que le présumé terroriste dernier tente au maximum de minimiser son rôle.
Les neuf assaillants des attentats du 13 novembre dernier en France sont mis à l'honneur dans une nouvelle vidéo de l'organisation de l'Etat islamique diffusée ce dimanche. Les djihadistes appellent à une poursuite des attaques en Occident.
Jawad Bendaoud, l’individu qui a loué l’appartement de Saint-Denis dans lequel ont résidé plusieurs terroristes qui ont participé aux attentats de Paris, a écrit une belle lettre au juge pour clamer son innocence. La toile s'est emparée de l'affaire.
D’après le journal Le Monde, aucun tir du RAID n’a touché Abdelhamid Abaaoud, le cerveau présumé des attentats de Paris et sa cousine qui étaient retranchés dans un appartement de Saint-Denis.
Muni d'un faux passeport, il aurait reçu un «soutien logistique» de l'autre côté de la Manche. Ses multiples déplacements en Europe désarçonnent les enquêteurs.
L'enquête se poursuit sur les attaques terroristes qui ont frappé la France le 13 novembre et une nouvelle interpellation a eu lieu en Belgique.
La police grecque aurait tenté de capturer la tête pensante des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud, en janvier dernier alors qu'il était à Athènes.
Alors que les autorités françaises et belges se renvoient la responsabilité des attentats de Paris, la mairie de Molenbeek aurait été informée, avant les attentats, du caractère dangereux de certains de leurs auteurs, dont l'organisateur présumé.
Celui qui aurait initié les attentats de Paris serait bien décédé. La confirmation est venue du Procureur de Paris, François Molins. L’incertitude demeurait sur le sort du djihadiste belge, commanditaire présumé des attentats du 13 novembre à Paris.