Le Pakistan a subi un black-out important dans la nuit du 9 au 10 janvier 2021. En cause, un dysfonctionnement ayant nécessité «l'arrêt des centrales», selon le ministère de l'Energie. Le courant électrique a été rétabli en partie.
Incités par des religieux locaux, plusieurs centaines de musulmans ont mis le feu à un temple hindou à Karak, dans le nord du pays.
Le président du Pakistan a promulgué une loi prévoyant la castration chimique des violeurs et qui doit être ratifiée par le Parlement mais entre immédiatement en vigueur. Cette mesure pose des questions, notamment, quant à son efficacité.
Des centaines de fidèles se sont rassemblés le 4 décembre 2020 dans la mosquée New Memon Masjid à Karachi pour prononcer la Youm-e-Dua.
La ministre pakistanaise des droits de l'Homme a retiré de Twitter ses déclarations selon lesquelles Emmanuel Macron traitait les musulmans comme les nazis traitaient les juifs. La veille, la diplomatie française a condamné ses propos «mensongers».
La ministre pakistanaise des droits de l’Homme a écrit dans un tweet que «Macron fait aux musulmans ce que les nazis infligeaient aux juifs». Des propos condamnés par le ministère français des Affaires étrangères.
Le mouvement islamiste Tehreek-e-Labaik a appelé à cesser les manifestations anti-françaises au Pakistan car le gouvernement lui aurait donné gain de cause en approuvant le boycott des produits français et le renvoi de l’ambassadeur de France.
Pour le deuxième jour consécutif, les autorités pakistanaises ont bloqué une importante route d'accès à Islamabad afin d’éviter une nouvelle manifestation contre la France à l'appel d'un parti islamiste radical.
La vidéo d'une enseignante inculquant à de jeunes élèves pakistanaises voilées le châtiment destiné selon elle aux blasphémateurs du prophète a été diffusée sur Facebook par une école religieuse d'Islamabad, puis massivement repartagée sur Twitter.
Sur fond de vives tentions entre la France et le monde musulman, le Pakistan a voté une résolution visant à rappeler son ambassadeur en France. Sauf que le poste est vacant depuis plus de trois mois, faute de nouvelle nomination par Islamabad.
Gérald Darmanin a fustigé ce qu'il estime être des ingérences dans les affaires du pays notamment de la Turquie et du Pakistan, qui ont réagi avec colère aux propos d'Emmanuel Macron sur la liberté de caricaturer, y compris le prophète Mahomet.
L'auteur présumé de l'attaque du 25 septembre près des anciens locaux de Charlie Hebdo qui a fait deux blessés dans l'agence Premières Lignes a été mis en examen et écroué pour tentatives d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste.
Bienvenue dans la poursuite du nouveau format de l'Echiquier mondial qui présente dans cet épisode une bataille entre deux puissantes figures du monde musulman. Chacun aspire au rôle de leader régional, mais jusqu’où pourrait aller la confrontation ?
Des dizaines de manifestants ont protesté le 3 septembre au Cachemire contre la dernière une de Charlie Hebdo, brûlant notamment le drapeau français, alors que d'autres marches sont prévues au Pakistan où la question du blasphème est incendiaire.
Dans ce nouveau format, l’Échiquier mondial va décortiquer les plus grandes rivalités de l’histoire géopolitique. Le premier duel opposera deux chefs d’Etats : l’indien Narendra Modi et le pakistanais Imran Khan.
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a déclaré qu'Oussama Ben Laden était «mort en martyr», qualifiant ce meurtre d'«humiliation» pour de nombreux Pakistanais. Ses propos ont provoqué une vague de réactions hostiles dans le pays.
La justice française a condamné à de la prison ferme six prévenus dans le volet financier de l'affaire Karachi, concernant des commissions occultes sur des contrats d'armement signés en 1994 avec l'Arabie saoudite et le Pakistan.
Un Airbus A320 en provenance de Lahore s'est écrasé près de Karachi peu avant l'atterrissage. 97 personnes sont mortes dans l'accident, d'après le dernier bilan des autorités, et deux survivants ont été retrouvés.
Alors que le nombre de décès liés au coronavirus a dépassé la barre des 200 000 dans le monde, l'OMS a mis en garde contre la menace d'une seconde vague, précisant n'avoir «aucune preuve» qu'une personne ayant attrapé le Covid-19 soit immunisée.
Estimant que les informations pourraient être «trompeuses si elles étaient rendues publiques et utilisées hors contexte», le gouvernement a britannique a refusé de publier, pour le moment, les résultats de son enquête sur des gangs de violeurs.