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Le gouvernement afghan accuse Islamabad d'avoir effectué des raids aériens à la frontière entre les deux pays. Selon les autorités afghanes, les attaques pakistanaises auraient fait plusieurs dizaines de victimes civiles dont de nombreux enfants.
Le ministère indien de la Défense a annoncé que l'armée indienne avait envoyé accidentellement un missile au Pakistan, qualifiant l'épisode de «profondément regrettable». Le tir n'aurait provoqué aucune perte de vies humaines.
La police pakistanaise a fait état d'un bilan de 62 morts dont sept enfants de moins de 10 ans, après un attentat dans une mosquée de Peshawar. Cette attaque meurtrière a été revendiquée par Daesh.
Le Tehreek-e-Labbaik Pakistan n'est plus considéré comme un organisation terroriste depuis le 7 novembre, selon un communiqué du gouvernement pakistanais, qui a obtenu des garanties en échange. Le mouvement a ainsi renoncé à marcher sur Islamabad.
Ce 27 octobre, trois policiers ont été tués par balles dans la ville pakistanaise de Lahore par des manifestants hostiles à la France et soutenant le Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP), une organisation classée terroriste.
Le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Shah Mahmoud Qureshi, a été accusé par une présentatrice de CNN de tenir des propos antisémites pour avoir dit qu'Israël avait les «poches profondes» et «contrôlait les médias».
D'après la police, une bombe visant le véhicule d'un leader islamiste a explosé lors d'un rassemblement en soutien à la cause palestinienne dans le sud-ouest du Pakistan, faisant au moins six morts.
Les agents avaient été enlevés pendant des manifestations à Lahore le 18 avril et retenus dans une mosquée appartenant au Tehreek-e-Labbaik, mouvement classé organisation terroriste. Ils ont été libérés le lendemain après négociations avec le TLP.
Au cours d'une nouvelle manifestation contre la France à Lahore, au Pakistan, huit policiers ont été pris en otage par des membres du parti islamiste en tête de la contestation.
Le Premier ministre pakistanais Imran Khan a appelé les gouvernements occidentaux qui ont «interdit tout commentaire négatif sur l'Holocauste» à utiliser les mêmes règles pour «punir» ceux qui insultent le prophète de l'islam.
Les émeutes se poursuivent au Pakistan, après l'arrestation d'un leader islamiste qui avait donné au gouvernement un ultimatum pour expulser l'ambassadeur de France, dans le cadre d'un mouvement contre le soutien de Macron aux caricatures de Mahomet.
Des violences ont éclaté au Pakistan, où des manifestants islamistes protestent contre l'arrestation de leur chef. Ce dernier avait exigé l'expulsion de l'ambassadeur de France, en réaction au soutien d'Emmanuel Macron aux caricatures de Mahomet.
Des milliers de personnes ont manifesté à Lahore pour protester contre l'arrestation de Saad Rizvi, un responsable islamiste qui avait exigé l'expulsion de l'ambassadeur de France après la republication des caricatures du prophète Mahomet.
L'ancien Premier ministre Edouard Balladur a été relaxé ce 4 mars par la Cour de justice de la République qui le jugeait pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle malheureuse de 1995, l'un des volets de l'affaire Karachi.
«Changer des lois [...] pour isoler une minorité constitue un précédent dangereux», a déclaré le président pakistanais, au sujet de la loi sur le séparatisme. Paris a fait part de sa «surprise» et de sa «désapprobation» face à ces propos.
Le Pakistan a subi un black-out important dans la nuit du 9 au 10 janvier 2021. En cause, un dysfonctionnement ayant nécessité «l'arrêt des centrales», selon le ministère de l'Energie. Le courant électrique a été rétabli en partie.
Incités par des religieux locaux, plusieurs centaines de musulmans ont mis le feu à un temple hindou à Karak, dans le nord du pays.
Le président du Pakistan a promulgué une loi prévoyant la castration chimique des violeurs et qui doit être ratifiée par le Parlement mais entre immédiatement en vigueur. Cette mesure pose des questions, notamment, quant à son efficacité.
Des centaines de fidèles se sont rassemblés le 4 décembre 2020 dans la mosquée New Memon Masjid à Karachi pour prononcer la Youm-e-Dua.
La ministre pakistanaise des droits de l'Homme a retiré de Twitter ses déclarations selon lesquelles Emmanuel Macron traitait les musulmans comme les nazis traitaient les juifs. La veille, la diplomatie française a condamné ses propos «mensongers».