Interrogé par France 2 sur le sommet de l'OTAN en cours à Bruxelles, Dominique de Villepin a suggéré que l'Union européenne cherche à dialoguer avec la Russie et la Chine, notamment pour contrer Trump qui tente de «dicter son agenda».
A la veille du sommet réunissant les dirigeants européens autour des enjeux qui secouent l'UE, l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin s'exprimait sur France inter. Il a notamment fait part de ses craintes sur l'avenir de la France dans le monde.
L'ancien Premier ministre de droite Dominique de Villepin a apporté son soutien à Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle, suscitant des réactions mitigées dans la sphère politique.
L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, qui avait déjà annoncé qu'il ne voterait pas pour son ancien rival François Fillon, préparerait l'annonce de son soutien à l'ancien ministre de l'Economie de François Hollande.
Dans son dernier livre, «Mémoire de paix pour temps de guerre», Dominique de Villepin livre son analyse des relations internationales aujourd'hui, selon lui paralysées par l'absence de dialogue. Il a accepté de répondre aux questions de RT France.
Le ministre des Affaires étrangères de Jacques Chirac, opposant à la guerre en Irak, revient sur les grands enjeux à venir. Dans un entretien pour RT, il analyse également la décision de François Hollande. Courageuse mais inévitable, selon lui.
Le chroniqueur de l'émission de Laurent Ruquier est parvenu à faire sortir de ses gonds l'ex- Premier ministre de Jacques Chirac, l'accusant d'avoir laissé des militaires français mourir dans des bombardements en Côte d'Ivoire, en 2004.
L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a regretté, à l'occasion d'un entretien donné à RTL, la rhétorique de «diabolisation concernant la Russie», qu'il considère comme un partenaire incontournable pour «régler le problème syrien».
Nouvel épisode dans l'affaire de Bouaké en Côte d'Ivoire en 2004, particulièrement clivant dans l'histoire trouble des relations «françafricaines» : Villepin, Alliot-Marie et Barnier ont été renvoyés devant la Cour de justice de la République.
Suite aux attentats de Paris, le terme de «guerre» contre Daesh est sur toutes les lèvres, à commencer par celles du gouvernement. Mais l'ancien Premier ministre considère, lui, au contraire, qu'une telle réponse n'est pas appropriée.