Dans les prochaines années, General Motors créera environ 5 000 emplois supplémentaires et investira un milliard de dollars supplémentaires aux Etats-Unis, en plus des 2,9 milliards annoncés l’année dernière.
Le président élu Donald Trump avait vertement critiqué General Motors, l’entreprise produisant ses véhicules au Mexique avant de les importer aux Etats-Unis. Le 3 janvier, il a menacé d’imposer «une lourde taxe frontalière» au constructeur automobile pour le faire fléchir.