Economie

Sommet Russie-Afrique de Saint-Pétersbourg : le bilan en chiffres

La deuxième édition du sommet Russie-Afrique, qui s’est tenue les 27 et 28 juillet à Saint-Pétersbourg, a réuni des dizaines de chefs d’Etat et de gouvernements et des milliers de chefs d’entreprises. Retour en chiffres sur cet événement.

Quel bilan pour la deuxième édition du sommet Russie-Afrique, qui s’est tenue les 27 et 28 juillet à Saint-Pétersbourg ? Au lendemain de la fermeture de ses portes, la Fondation Roscongress a communiqué dans une note adressée à la presse un ensemble de chiffres clés sur cet événement international.

Sur le plan politique :

A ces dirigeants politiques, selon Roscongress, ce rendez-vous incontournable des relations russo-africaines a ajouté 9 000 participants et représentants venus de Russie et de 104 pays.

Auxquels se sont joints :

d'après des chiffres précisés par Anton Kobiakov, conseiller du président russe et secrétaire exécutif du Comité d'organisation chargé de la préparation et la conduite des événements du format Russie-Afrique.

Plus de 160 accords signés

Toujours selon Roscongress,

Le tout autour de quatre grands axes :

Ce forum a notamment vu la signature de 161 accords, non couverts par le secret commercial, dans les secteurs de :

Les géants industriels à l'avant-garde russe  

Dans les allées du forum, plus de 50 stands d'exposition consacrés aux secteurs clés de la coopération entre la Russie et les pays africains avaient été installés. Parmi les entreprises russes qui y étaient représentées, on comptait des géants des secteurs :

«Nous avons identifié les principaux axes de travail commun, esquissé des plans pour renforcer la coordination de la politique étrangère, accroître les flux commerciaux et d'investissement, et la coopération industrielle entre la Russie et les pays du continent» africain, s’était notamment félicité le président russe Vladimir Poutine lors de son allocution de clôture de la deuxième session plénière du sommet.