La manifestation, organisée par des groupes d'étudiants et des organisations de travail, a commencé paisiblement, mais s'est terminé dans la violence, ce qui a poussé la police anti-émeutes à faire usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau pour calmer les protestataires.
Quelques manifestants ont essayé de forcer les barrières de sécurité protégeant le Congrès national du Chili, au moment où la présidente se livrait à son allocution annuelle retransmise par la télévision nationale.
Michelle Bachelet doit cette année faire face à une chute de popularité de 30%, la plus forte jamais enregistrée par la présidente chilienne.